Le charbon à Cherbourg

Qui ??? Ta mère !!! Waouh z'y va, j' te crois pas

neness ta reconnu yannick derrière mamère sur france 3?

Greenpeace co-organisateur du rassemblement va installer un iceberg géant pour symboliser le réchauffement climatique cette après midi

Plus d'un millier de personnes (1500 selon les organisateurs, 1000
selon la police) ont manifesté samedi dernier .

La communauté urbaine de Cherbourg fait 150000 habitants

On trouve 1000/1500 personnes pour une manif nationale
Donc finalement.......................tout le monde s'en fout de ce projet

Peut-être que le fait que Greenpeace et Mamère soient annoncés en a refroidi plus d'un

C'est vrai que cela a pu déclencher l'effet inverse

Le préfet de la Manche a signé l'arrêté autorisant l'implantation d'un
terminal charbonnier sur le port de Cherbourg. Les premiers cargos
pourraient arriver dès cet été. Les opposants au projet, les riverains
et les écologistes, ne baissent pas les bras.

Une bonne nouvelle pour le port de Cherbourg

Citation :

Les opposants au projet, les riverains
et les écologistes, ne baissent pas les bras

C'est un peu partout pareil de nos jours, il y a ceux qui ne baissent pas les bras et il y a ceux qui se retroussent les manches et bossent en pensant à l'avenir des mômes

rien de gagner : Dans quelques jours, les associations de protection de l'environnement vont déposer un recours au tribunal administratif de Caen, contre le projet de terminal charbonnier.

, Je met les glaçons et les bouteilles au frais quand même.

Début juillet, le terre-plein des Flamands devrait accueillir son
premier chargement de charbon.
A 2 mois de l'arrivée des premiers bateaux, les ouvriers s'affairent :
l'aménagement de la plate-forme de stockage suit son cours.
Malgré l'avancement du chantier, les anti-charbon continuent leur
combat. Ils ont déposé la semaine dernière un recours devant le tribunal
de Cherbourg.

Nouvelle action coup de poing ce lundi 3 mai à Cherbourg. Des militants Greenpeace ont voulu remettre le charbon sur le devant de la scène.

Aucune plainte n'a finalement été déposée à l'encontre des militants Greenpeace qui se sont introduit illégalement lundi 3 mai au petit matin sur le site du futur terminal charbonnier à Cherbourg. Une douzaine de personnes ont déployé des banderoles pour dénoncer « l'enterrement du Grenelle de l'Environnement ». Une action très symbolique puisque le Parlement revient justement mardi 4 mai sur ce volet écologique. Par ailleurs, Greenpeace en a profité pour lancer un recours en justice. Enfin, c'est mercredi 4 mai que la justice tranchera sur le recours que les anti-charbon du Cotentin ont lancé contre l'implantation du terminal.

Un pas important franchi hier pour le projet de terminal charbonnier de Chebrourg. La CLI, la commission locale d'information, a été mise en place et a tenu sa première réunion. Une quarantaine de membres la composent : élus, associations anti et pro charbon, industriels, et services de l'Etat.
En parallèle hier les 3 derniers actes réglementaires ont été pris concernant l'occupation du domaine maritime, le transport de vrac et la sécurité de la navigation. Des autorisations qui manquaient pour installer les futurs mouillages des Capesizes, ces cargos de 300 mètres qui transporteront le charbon. L'installation d'une CLI n'était pas obligatoire : elle avait été suggérée par la commissaire enquêtrice et le préfet de la Manche l'assure : il veut une transparence maximum sur ce projet. c'est un peu le véritable acte de naissance du projet qui a été signé hier. Le premier bateau est attendu vers la mi septembre et la prochaine réunion de la CLI est programmée en décembre, après environ 3 mois d'exploitation du terminal.
Les travaux en mer vont pouvoir commencer en août si la météo le permet. Les responsables espèrent un premier débarquement vers la mi septembre et dès le début de l'exploitation les autorités le promettent, l'installation, unique en France, sera sous haute surveillance.

C’est Louis Dreyfus Armateur qui l’annonce : il n’y a aura pas de charbon dans l’immédiat sur le terminal vrac du port de Cherbourg. Pour deux raisons : les démarches administratives ont fortement retardé le projet et le marché du charbon n’est pas porteur actuellement. La plupart des centrales à vapeur de Grande Bretagne, les clients potentiels du terminal charbonnier Cherbourgeois, optent actuellement pour le graphite gaz, dont le prix a baissé. Cela ne signifie pas la fin du terminal charbonnier. « Nous continuons à prospecter des clients » assure Alain Le Guillard, directeur général de Louis Dreyfus Armateur. Il confirme également que le projet n’est pas abandonné. La grue flottante, indispensable au transbordement des matières, sera bien acheminée à Cherbourg à la mi-octobre. Pour l’heure, le sel va remplacer le charbon : un trafic de 70 000 t est attendu dans les prochaines semaines.

source ouest france