En fin de manifestation, vers 15h30, environ 400 jeunes et
syndicalistes sont allés réclamer la libération des quelques personnes
interpellées devant le commissariat. Les CRS les ont dispersés à coup
de lacrymo. Puis, il y a quelques minutes, une centaine est remontée
vers l'esplanade de la mairie. "Cette fois on voulait se séparer", disent des syndicalistes. Nouveau cordon de CRS et tension à son comble. "Un de nous a voulu empêcher l'interpellation d'un lycéen et là, ça a tourné à la charge et aux coups de matraque", explique un cégétiste qui se tient le bras de douleur.
source ouest france