Avancement chantier du MARITE

Boujou les gars

Passant devant le chantier ce midi, j'ai pris deux trois photos de notre terre-neuvas.
Ca avance relativement bien et le travail est de qualité.
J'ai essayé d'avoir le Chantier Bernard pour plus de détails mais en vain. Je me rencarde dans les jours à venir pour vous donner plus de renseignements.
Tantot

merci Mr le hable
pour compléter ton repotage je met le lien, ou il y a une video de sa mise en cale sèche et de chantier
http://www.marite.fr/pages/chantier_charniere.php

Meci Isa d'avoi ' 'ajouté le lien pou' compléter mon 'e'potage

merci "le hable" pour les photos,pour la qualité du travail j'en doute pas la marité est repartie pour 100 ans minimum!
Ah le savoir faire de nos maitres chapentiers normands,tout une histoire!!!!

Rouen va se retirer du GIP propriétaire du morutier le Marité, a indiqué le maire (PS) de Rouen (Seine-Maritime). Le département de la Manche risque fort ainsi de se retrouver isolé à la tête du GIP, formé de collectivités dont les chefs de file sont, à 70% et à part égale la Manche et Rouen. Trop cher, a précisé l’élu. Acheté 2,3 millions d’euros par le GIP en 2 004 pour en faire un ambassadeur, le navire, pour deux ans en cale sèche pour travaux, coûte aujourd’hui trois fois plus. Rouen, qui a déjà versé au GIP 2,4 millions d’euros (achat et garanties d’emprunt) honorera cependant ses derniers engagements pour 1,03 millions d’euros.

source : source : http://www.lagazettedescommunes.com/actualite/29333/gestion_locale/basse_normandie_manche_isolee_marite.htm

La ville de Rouen confirme son souhait de retrait : l’avenir du Marité entre les mains de la Manche

Les deux principales collectivités propriétaires du trois-mâts Marité, la ville de Rouen et le Département de la Manche, ont remis au mois de septembre 2008 leur décision de poursuivre ou non l’aventure de ce terre-neuvier racheté en 2003 mais immobilisé pour travaux depuis 2006 dans le port de Cherbourg. Pour sa part, le maire de Rouen, Valérie Fourneyron (PS), a confirmé que la ville de Rouen « souhaite se retirer » du GIP au 31 décembre 2008.



Ce délai doit d’abord laisser le temps d’achever le chantier de mise en flottabilité du navire qui a été totalement démonté dans la forme de radoub de Cherbourg. « Nous accompagnons le bateau jusqu’à sa mise en flottabilité. Si nous n’avons pas de garanties financières, nous nous retirerons de l’opération », a annoncé le président du conseil général de la Manche, Jean-François Le Grand (UMP).

La collectivité départementale de Basse-Normandie qui a porté sa participation au GIP de 10% à 40% en reprenant des droits de la ville de Rouen, prévient qu’elle ne poursuivra que si de nouveaux partenaires viennent suppléer la défection totale de la ville de Rouen. Jean-François Le Grand a exclu que le département de la Manche supporte quasiment seul, la charge de ce navire. Ce qu’avait fait la ville de Rouen lors du lancement du projet.

Pour Mme Fourneyron, le retrait du GIP s’impose en raison des contraintes financières qui s’imposent à la ville de Rouen. La collectivité a déjà engagé 2,4 M€ et sera appelée pour couvrir un emprunt de plus d’un million d’€. « Une dépense à mettre en parallèle avec la venue du Marité à Rouen, observe le maire pour justifier le retrait. Une seule semaine en quatre ans dont la visite était payante ; avec l’oubli de Rouen dans la tournée de l’émission de télévision Thalassa ; avec la situation financière de la Ville ; et avec l’opacité de la gestion de ce dossier par l’ancienne équipe municipale… » tempête Mme Fourneyron.

Le Marité a été acquis auprès de passionnés suédois qui avaient habilement redonné un “coup de jeune“ au vieux gréement pour mieux le vendre. Le retour dans sa région de construction, a débuté dans la confusion. L’opposition de gauche au conseil municipal de Rouen doutant de la fiabilité du projet et surtout le conseil général de la Seine-Maritime alors présidé par le sénateur UMP, Charles Revet, position confirmée par son successeur Didier Marie (PS), ainsi que le conseil régional présidé par le socialiste Alain Le Vern, ont limité leur engagement au versement d’une subvention pour l’acquisition, mais ont refusé de s’engager dans le GIP. Plus gênant, le président de l’Armada, Patrick Herr alors député UDF de Rouen, est resté volontairement à l’écart. Finalement, la Ville de Rouen a obtenu l’appui du département de la Manche, de la ville de Fécamp, du département de l’Eure et de la Communauté d’agglomération Seine-Eure (CASE) que préside Franck Martin (PRG).

Farouche partisan de la poursuite du projet sous la responsabilité des collectivités, l’élu de l’Eure estime aujourd’hui qu’un rééchelonnement des emprunts sur quinze ans au lieu de six, permettrait aux principales collectivités garantes de supporter la charge. Il fustige l’incapacité de Rouen en particulier, ville organisatrice de l’Armada, et des collectivités normandes en général, à se fédérer autour d’un projet maritime.« La France est une puissance navale qui a laissé pourrir son patrimoine maritime. C’est un vrai scandale », a exprimé M. Martin.

La durée du GIP créé en décembre a été portée de 10 à 20 ans en juin 2007 avec une nouvelle répartition des droits de la ville de Rouen ramenés de 60% à 40%. Le Département de la Manche était passé de 10% à 40%, le Département de l’Eure se retire de 10 à 4%. La Communauté d’agglomération Seine Eure passe de 10 à 8% tout comme la ville de Fécamp. Si le GIP n’est pas maintenu, on se dirigerait alors vers une mise en vente du bâtiment que les experts estiment, une fois sa rénovation achevée à 7 M€.

source : http://www.drakkaronline.com/La-ville-de-Rouen-confirme-son

Faux et archi faux

La haute normandie souhaite se désolidariser du projet. POINT BARRE.
Seul reste en course au jour d'aujourd'hui le conseil général de La Manche qui joue la derniére carte du "chantage"
Sous couvert une fois de plus de magouilles politiques sentant les gros soux, cette région laisse tomber; une fois de plus; un morceau du patrimoine naval Normand.
Dreknor a fait également les frais de cette politique lors de Rouen 2008.
La seule chose de navale qui intéresse la haute normandie, ce sont les pétroliers et chimiquiers du Havre et de Port Jérome
HAUTS NORMANDS REVEILLEZ VOUS AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD (la bretagne tape du pied comme elle l'a fait pour le cotre pilote Marie Fernand du Havre qui vient d'être remis à l'eau à brest)
Mais,........à part ça......... vive la réunification suivie d'une plus ou moins .................lointaine indépendance, autonomie
Je ne dis pas Tantôt

Une honte, je suis bien d'accord avec toi. Et c'est bien pour ça que j'ai jugé bon de poster cet article révélateur d'une situation politique magouilleuse en Normandie et qui se foût jacobinement du patrimoine maritime Normand...(excepté le CG de la Manche dans cette affaire)

Je retiens tout de même les propos de Mr Martin :

Citation :

Il fustige l’incapacité de Rouen en particulier, ville organisatrice de l’Armada, et des collectivités normandes en général, à se fédérer autour d’un projet maritime.« La France est une puissance navale qui a laissé pourrir son patrimoine maritime. C’est un vrai scandale », a exprimé M. Martin.

C'est un fait ! Nous devons en prendre acte !!! Mais qui a dit que la France nous apportait quelque chose ? Ni toi, ni moi

Tiens j'édite ce post pour afficher l'article paru aujourd'hui dans l'édition cherbourgeoise de Ouest-France ; une interview de Mr Franck Martin (Maire de Louviers) fort intéressante :

La valeur « inestimable » du Marité

Combien coûte vraiment le Marité ? Frank Martin, maire de Louviers, remet le poids financier du projet de restauration dans son contexte.



De quoi est victime le Marité ? « D'une campagne de désinformation majeure », estime Frank Martin, maire de Louviers dans l'Eure et président de la communauté d'agglomération Seine-Eure. « Cette campagne vise à faire peur aux contribuables en brandissant des chiffres sans commune mesure avec une appréciation d'un dossier certes hors normes, mais objectivement raisonnable et équilibré. »

Lors de la réunion du groupement d'intérêt public, lundi, un rapport financier a été présenté. Que dit-il ? « Que le volet financier est sain, et qu'il n'y a pas eu gaspillage d'argent public. » Loin d'être un trou sans fond, l'exploitation du Marité a été bénéficiaire pendant les deux années, où il a navigué pour le compte du GIP.

« Pour être précis, en 2004 et 2005, le Marité a dégagé un bénéfice d'exploitation avoisinant 50 000 €. Il n'y a donc pas de problème de fonctionnement. Une fois amorti l'investissement initial, le Marité ne coûtera pas un sou de plus aux contribuables », promet Frank Martin.

Reste le financement de l'investissement. Que vaut le Marité ? 6 à 7 millions €, selon deux expertises indépendantes réalisées par le Département de la Manche. Les travaux en cours sont financés par deux emprunts pour un total de 2,4 millions €. Pour terminer complètement la rénovation, il faudrait trouver entre 1,5 et 2 millions €. « Pour un bateau qui durera plusieurs dizaines d'années ».

Anomalies

Frank Martin, qui, on l'a compris, est un ardent défenseur du projet, relève plusieurs anomalies. D'une part, la durée des emprunts est trop courte : ils doivent être remboursés dès 2013. « Quand vous achetez une maison, vous empruntez sur quinze ou vingt ans. Le Marité, lui, peut encore durer 80 ans ! » Autre bizarrerie : pourquoi n'a-t-on pas sollicité le conseil général de Seine-Maritime ? Fécamp fait partie du GIP. « Une participation, même mineure, ferait baisser d'autant le poids collectif d'un investissement. »

Qu'est ce que 4 millions et demi € au regard du poids des collectivités impliquées ? « Quelques centaines de mètres de grande voirie, un quart de station d'épuration, un dixième de musée... », assure Frank Martin, qui considère que la valeur intrinsèque du voilier est inestimable.

« Le Marité, c'est la Joconde de la mer ! Le fleuron de notre patrimoine maritime, le plus grand voilier en bois, le témoin de cinq siècles de pêche à Terre-Neuve, l'héritier d'une culture et tradition populaire normande. »

Le 1er septembre le GIP se réunira une nouvelle fois à Rouen. L'espoir de mener à bien la reconstruction du trois-mâts reste entier.

Thierry DUBILLOT.

source : Ouest-France sur http://www.cherbourg.maville.com/La-valeur-inestimable-du-Marite-/re/actudet/actu_loc-673722------_actu.html

Marité : le GIP prend l’eau

Les membres du GIP Marité se sont réunis ce 1 septembre 2008 en assemblée générale afin d’élire leur nouveau Président, consécutivement au départ de Pierre ALBERTINI, ancien Maire de Rouen et Président du GIP.
Le choix s’est porté sur Franck MARTIN, Maire de Louviers et Président de la Communauté d’agglomération de Seine Eure. La vice-présidence du GIP est confiée à Erick BEAUFILS, Vice-président du Conseil Général de la Manche.
La ville de Rouen, mais aussi le Conseil général de l’Eure, ont fait part officiellement de leur intention de se désengager du GIP au 31 décembre 2008.

Avec l’annonce de ce départ du GIE, l’avenir du vieux gréement normand, dernier Terre-Neuva français, semble fortement compromis.

La ville de Rouen se désengage, mais devra financer la moitié de l'addition pour sa mise en flottabilité (entendue sur france bleu cotentin)

Merci pour l'info Isa et bien fait pour la Ville de Rouen...

Photos prises ce midi vers 12h00. La caréne est presque terminée (hors peintures) et les barreaux de ponts pratiquement tous posés, La Marité devrait retrouver son élément d'ici 4/5 mois et voguer vers Granville ou Saint Waast pour le restant du chantier.
Tantôt

Et oui, la Seine-Maritime s'est désengagée sur le chantier de rénovation du Marité mais va sans doute sous peu investir ailleurs... A chacun de se faire son idée !!!

Le voilier achevé avant l'été

En septembre dernier, le président de Région était venu sur le chantier. Depuis la visite du président de la région Haute-Normandie, en septembre dernier, sur le chantier du navire en construction, les choses ont évolué autour du projet de Norm'Handi Mer. Le tout premier voilier de ce type destiné à accueillir des personnes à mobilité réduite devrait finalement être achevé entre avril et mai.

« Depuis septembre dernier, il s'est passé à la fois peu de choses et plein de choses », explique l'instigateur du projet, Régis Levicq. « D'un côté, le bateau a avancé doucement, et nous avons encore pris du retard. Un certain nombre d'aides financières promises se font attendre et cela nous a mis dans une situation délicate, par rapport aux commandes nécessaires à l'avancement du projet ». Par ailleurs, ajoute le président de l'association, « certains contacts pour des fournitures sièges ou matériel aviron restent muets et nous contraignent à opérer des commandes un peu à l'aveuglette ».

Reste que si la conclusion de ce projet se dessine pour le printemps, soit entre avril et mai 2009, « c'est maintenant grâce à la région Haute-Normandie qui vient de voter une subvention de 40 000 euros dans le cadre du projet de développement du pays des Hautes Falaises », insiste Régis Levicq. Celui-ci avait, on se souvient, porté haut son dossier devant les collectivités locales, tenues notamment, on l'avait deviné, par les échéances électorales de début d'année. « L'attribution de la Région n'est certes pas une surprise, car nous savions qu'elle soutenait déjà ce projet, mais avant Noël, c'est un beau cadeau pour ceux qui attendent le bateau. Nous espérons que cette subvention sera suivie par celle du département ».

Avec l'avance de fond de 25 000 euros accordée par la municipalité de Fécamp, en attendant le département, 15 000 euros du Crédit Agricole (ce qui porte à 36 000 euros son partenariat), cela permet au chantier de respirer.

Enfin, alors que le travail se poursuit ardemment sur le site du plateau Saint-Jacques, le porteur du projet sait que le projet en faveur des personnes handicapées suscite déjà bien des envies dans le monde associatif. « Des partenaires futurs, amenés à utiliser ce qui sera le premier voilier spécialement adapté et utilisable tant à la voile qu'aux rames, sont en contact permanent et nous sommes déjà sollicités pour des prestations, des démonstrations dans des salons, ou durant des événements maritimes ».

Si plus aucune mauvaise surprise ne vient enrayer la belle mécanique, le port de Fécamp risque fort d'attirer, non seulement un public, mais aussi nombre de médias autour de ce qui apparaît déjà comme une première mondiale dans le monde du handicap.

source : http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/80221/Le_voilier_acheve_avant_l_ete publié le 04/01/2009

A nouvelle année, nouveau projet... Un p'tiot commentaire Mr le Hable

Boujou ga's Junker

Le projet en lui-même est louable: permettre à des gens handicapés physique de pratiquer la voile. C'est une trés bonne idée.
Mais je ne digére pas pour autant les magouilles politiques de le vern et beauvais qui font en gros tout ce qu'ils peuvent pour coller des batons dans les roues de JF Le grand(droite), président du conseil général de La Manche.
Pour le Marité, qui assume : La Manche et son conseil général,
Pour le Barfleur de la brittany Ferries : à 45% c'est le Conseil général de la Manche.
Le Grand qui a la double casquette conseil général/ vice président de PNA ne cesse de se débattre et prendre des mines larguées par les deux présidents de région(ps).
le vern ne supporte pas que beauvais lui fasse de l'ombre au cas ou (la réunif) et beauvais ne supporte pas que Legrand (son adjoint à pna)ait une main gagnante sur le port de Cherbourg, donc démerde toi pour la Marité, et démerdes toi avec ton port transmanche dont le ferry tourne à Caen.
Ces deux gens là sont tout sauf bénéfiques pour La Normandie.

Des nouvelles pour l'avenir du Marité dans cet article de Ouest France.
Un peu déçu de voir que ce biao baté va partir à Granville, mais bon, il est sauvé et le patrimoine naval Normand en ressort grandi :
Un compromis à la Normande pour le Marité
Alors que les travaux pour la mise en flottabilité du Marité s'achèvent actuellement dans la forme Napoléon, à Cherbourg, les choses semblent se préciser pour l'avenir du terre-neuvier. Une sorte de compromis à la normande pour tenter de satisfaire les deux ports intéressés par le bateau, Granville et Saint-Vaast-la-Hougue. Fin avril, le morutier devrait être remorqué au chantier Bernard de Saint-Vaast-la-Hougue pour la poursuite de sa restauration. Il devrait y rester plus d'un an. Le Marité devrait ensuite être transféré à Granville où les travaux de finition y seront réalisés. Granville devrait également devenir le port d'attache du morutier. Fin décembre, le maire et conseiller général de Saint-Vaast-la-Hougue avait vanté les mérites de son port tout en appelant à « quelque chose de consensuel. Il y a un partenariat possible entre les ports de la Manche. Je ne suis pas opposé à ce que Granville devienne le port d'attache du navire. Au contraire, le bateau correspond bien à son histoire et à son patrimoine ». Samedi, le président du conseil général, Jean-François Le Grand, sera à Cherbourg pour une visite du chantier du Marité.
Ouest France

On va enfin pouvoir récuperer notre forme de radoub ............. et ca c'est une bonne nouvelle

Vont ils avoir la bonne intelligence de laisser le "hangar" , aux premiers échos, NON

il devrait rejoindre fin avril Saint-Vaast-La-Hougue où le chantier
Bernard terminera ses travaux jusqu'en septembre 2010. Après un passage
à Cherbourg pour la pose de l'hélice, il rejoindra ensuite le port de
Granville. L'objectif étant qu'il soit prêt à naviguer en 2012 pour
être présent aux Jeux olympiques de Londres.

La mise à l'eau du Marité a été mouvementée hier matin à Cherbourg En
raison d'une erreur de pilotage le trois mats est allé percuter le
quai.
Fort heureusement les dégats sont limités.

ouf

Selon le Pére Auger, cela ne nécessitera qu'une petite matinée de boulôt à St Vaast, un petit ponçage et de la peinture. La charpente n'a rien pris.

pas de quoi en faire un plat donc

Non comme tu dis, je crois surtout que c'était pour railler le "Pilotage" et son pilote.

Quand, j'ai entendu l'info à la radio, c'était une catastrophe ! Les cris d'effrois des spectateurs (accompagnés de leurs commentaires, pas très joviaux envers le pilote du "Pilotage")

Pourtant, un pilote chevronné,...............j'en connais un, avec deux matelots au long cours

Le Hable a écrit:

Pourtant, un pilote chevronné,...............j'en connais un, avec deux matelots au long cours

C'est con, je n'étais pas dispo. (et les moussaillons revenaient de teufs)