appel à témoins dans une discothèque

Enquête à la discothèque

Que s'est-il réellement passé, vers 2 h 30, dans la
nuit du 15 au 16 décembre à la discothèque La Brocherie, à Roumare ?
Les gendarmes de la Communauté de brigades (COB) de Déville-lès-Rouen tentent toujours de déterminer avec exactitude comment une lycéenne de
19 ans a été grièvement brûlée aux mains, au dos et à la fesse gauche.
Selon la jeune Marine, originaire de Bihorel, sa robe aurait pris feu à cause d'une bougie posée sur une table basse, dans l'espace dansant. « Ma fille voulait aller danser lorsque sa robe a pris feu. Les flammes se sont rapidement propagées et elle a été obligée de se déshabiller,
raconte sa mère, jointe hier par téléphone. Malheureusement, elle a été grièvement brûlée. » Au deuxième et au troisième degré d'après le certificat médical. « Par la suite, elle a été prise en charge par les
employés de la discothèque. Ils lui ont appliqué une pommade. Mais ils n'ont même pas appelé les secours ! Ce n'est que quelques instants plus tard qu'ils ont décidé de la transporter, avec une amie, au CHU de Rouen. Ils l'ont déposée comme un paquet.»

Appel à témoins
Selon Yvan Poupardin, propriétaire de l'établissement, les faits ne se sont pas passés de la sorte : « Il n'y a pas de bougie dans l'espace dansant. Il s'agit de photophores électriques, les seules bougies sont dans la
salle de restaurant. En réalité, la jeune fille était ivre. D'après certains témoignages, elle est passée près d'une table et a bu du whisky dans une bouteille qui ne le lui appartenait pas. Le ton est monté. Nous pensons que quelqu'un a jeté un verre sur elle et que
l'alcool s'est enflammé à cause d'un briquet. » Concernant la prise en charge de Marine, le patron de La Brocherie n'a pas non plus la même analyse : « Je le répète, elle était ivre. Après qu'on lui ait passé de la pommade, elle a voulu retourner danser. C'est nous qui avons dû insister pour l'emmener à l'hôpital. Et, au CHU, mon responsable de la
sécurité a demandé à quelqu'un s'il pouvait partir. Ce à quoi, on lui a répondu : oui. »
Face à cette divergence d'appréciation des faits, les gendarmes veulent donc en savoir plus. Plusieurs témoins ont déjà été auditionnés, mais ils veulent connaître
la vérité.

Les soirs d'ouverture, La Brocherie peut accueillir jusqu'à 800
personnes. Ils lancent un appel à témoins et demandent à toutes personnes ayant pu être spectateur des faits d'entrer en contact avec eux en téléphonant au 02.35.74.01.90.

Invité

elle avait sans doute ce qu'on nomme "le feu au cul" :rendeer:

Abracadabrantesque histoire Exclamation

Invité

ET HOP GARCIMORE ! geek

Invité

haguedick a écrit:: ET HOP GARCIMORE !

Tac et Tac-tac, c'était certainement son surnom à la meuf.

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