Les gendarmes de l'Eure viennent de réussir un joli coup de filet.
En interpellant, il y a quelques jours au petit matin, trente-quatre personnes, âgées de 17 à 39 ans, dealers ou consommateurs, impliquées dans un vaste trafic de drogue.
Les arrestations, qui ont mobilisé, le 26 juin dernier, cent-dix militaires, trois chiens spécialisés dans la recherche de stupéfiants et un dans celle d'armes, se sont déroulées simultanément à La Madeleine et dans d'autres quartiers d'Evreux, à Pacy-sur-Eure, Saint-André-de-l'Eure, Combon et Serquigny, et même à Villeneuve-de-Berg, paisible cité de l'Ardèche.
Les gendarmes ont agi sur commission rogatoire d'un juge d'instruction ébroïcien, et leur réussite conclue de longs mois d'enquête et de filature.
L'affaire est en effet partie de Pacy-sur-Eure en novembre de l'année dernière.
En surveillant de près un consommateur et un revendeur, les enquêteurs ont pu remonter la filière jusqu'aux différentes têtes de réseau.
Six des personnes interpellées, tous des hommes dealers, ont été écroués dans diverses maisons d'arrêt de Normandie ou de la région parisienne.
Certains d'entre-eux ne vivaient que de ce trafic, du RMI et de cambriolages.
Ainsi, les gendarmes ont saisi, lors de diverses perquisitions, non seulement quelque 2 kg de résine de cannabis (en savonnette et en barrette), 1,5 kg d'herbe, 34 pieds de cannabis, une balance, mais aussi plus de 30 000 € en espèces (dont 22 000 € au domicile d'une des personnes impliquées), deux fusils de chasse calibre 12, des vêtements et des chaussures, un karaoké, du matériel hi-fi et un téléviseur provenant du cambriolage d'une maison à Saint-André-de-l'Eure. Le 4 x 4 volé, dont s'étaient servi les monte-en-l'air, avait été retrouvé entièrement brûlé quelques jours après les faits.
Parmi les protagonistes non incarcérés à l'issue de cette enquête placée sous la direction de la brigade de recherches de la compagnie d'Evreux, cinq personnes feront l'objet d'une mise en examen ultérieure. Quatre ont été placées sous contrôle judiciaire, neuf comparaîtront ultérieurement, et deux sont soumises à une injonction thérapeuthique.
Les gendarmes de l'Eure viennent de réussir un joli coup de filet.
En interpellant, il y a quelques jours au petit matin, trente-quatre personnes, âgées de 17 à 39 ans, dealers ou consommateurs, impliquées dans un vaste trafic de drogue.
Les arrestations, qui ont mobilisé, le 26 juin dernier, cent-dix militaires, trois chiens spécialisés dans la recherche de stupéfiants et un dans celle d'armes, se sont déroulées simultanément à La Madeleine et dans d'autres quartiers d'Evreux, à Pacy-sur-Eure, Saint-André-de-l'Eure, Combon et Serquigny, et même à Villeneuve-de-Berg, paisible cité de l'Ardèche.
Les gendarmes ont agi sur commission rogatoire d'un juge d'instruction ébroïcien, et leur réussite conclue de longs mois d'enquête et de filature.
L'affaire est en effet partie de Pacy-sur-Eure en novembre de l'année dernière.
En surveillant de près un consommateur et un revendeur, les enquêteurs ont pu remonter la filière jusqu'aux différentes têtes de réseau.
Six des personnes interpellées, tous des hommes dealers, ont été écroués dans diverses maisons d'arrêt de Normandie ou de la région parisienne.
Certains d'entre-eux ne vivaient que de ce trafic, du RMI et de cambriolages. Ainsi, les gendarmes ont saisi, lors de diverses perquisitions, non seulement quelque 2 kg de résine de cannabis (en savonnette et en barrette), 1,5 kg d'herbe, 34 pieds de cannabis, une balance, mais aussi plus de 30 000 € en espèces (dont 22 000 € au domicile d'une des personnes impliquées), deux fusils de chasse calibre 12, des vêtements et des chaussures, un karaoké, du matériel hi-fi et un téléviseur provenant du cambriolage d'une maison à Saint-André-de-l'Eure. Le 4 x 4 volé, dont s'étaient servi les monte-en-l'air, avait été retrouvé entièrement brûlé quelques jours après les faits.
Parmi les protagonistes non incarcérés à l'issue de cette enquête placée sous la direction de la brigade de recherches de la compagnie d'Evreux, cinq personnes feront l'objet d'une mise en examen ultérieure. Quatre ont été placées sous contrôle judiciaire, neuf comparaîtront ultérieurement, et deux sont soumises à une injonction thérapeuthique.